Bonne nouvelle pour la diaspora algérienne : la légalisation des documents devient plus simple !
L’Algérie simplifie enfin les démarches administratives pour ses citoyens à l’étranger. Le pays a ratifié la Convention de La Haye, dite Convention Apostille, qui supprime la légalisation des actes publics étrangers.
L’ambassade d’Algérie aux Pays-Bas a annoncé la décision le 5 novembre. Ce pas en avant, voulu par le président Abdelmadjid Tebboune, vise à moderniser l’administration et à réduire la bureaucratie. L’objectif est clair : faciliter la vie des citoyens et de la الجالية الجزائرية.
Une administration modernisée
Cette adhésion marque une nouvelle ère pour les services publics. Selon l’ambassade, elle reflète la volonté du gouvernement de simplifier les procédures et de renforcer la transparence.
Elle améliorera aussi la coopération internationale dans le cadre de la Conférence de La Haye de droit international privé (HCCH).
Le ministère des Affaires étrangères a confirmé que l’ambassadrice d’Algérie aux Pays-Bas a déposé le document d’adhésion auprès du Bureau permanent de la HCCH. Ce dépôt lance officiellement le processus d’intégration à la Convention.
Une avancée majeure pour la diaspora algérienne
L’entrée en vigueur de l’Apostille est prévue pour mi-2026. À partir de cette date, les Algériens résidant à l’étranger n’auront plus besoin de légaliser leurs documents dans les consulats.
Un seul cachet, appelé Apostille, suffira pour valider un document dans tous les pays membres de la Convention, aujourd’hui plus de 120.
Avant cette réforme, les citoyens devaient suivre une chaîne longue et complexe de tampons et validations. Désormais, la procédure sera simple, rapide et uniforme.
Un signal fort envers la communauté algérienne à l’étranger
Cette mesure envoie un message clair : l’État veut rapprocher l’administration des citoyens et soutenir sa diaspora.
Pour de nombreux Algériens à l’étranger, cette réforme représente un gain de temps considérable et un soulagement administratif.
