France : pas de suspension des visas d’études pour les Algériens, leur nombre augmente
Pas de suspension des visas étudiants pour les Algériens
Contrairement aux rumeurs, la فرنسا n’a pas suspendu les visas d’études pour les étudiants algériens. Au contraire, leur nombre est en hausse pour l’année universitaire 2025-2026. Cette nouvelle rassure des milliers de jeunes qui craignaient de voir leur projet de vie compromis.
Contexte diplomatique tendu entre Paris et Alger
Le 6 août dernier, Emmanuel Macron avait demandé un durcissement de la politique des visas envers l’Algérie. Le document évoquait un possible refus des visas de long séjour. Beaucoup ont alors pensé que les visas d’études seraient concernés, ce qui a semé la confusion et provoqué une vague d’inquiétude parmi les familles.
Une confirmation rassurante
Le 29 septembre, l’annonce officielle est tombée. 8 351 étudiants algériens ont obtenu un visa d’études de type D pour 2025-2026. Ce chiffre marque une hausse de 13,6 % par rapport à l’année précédente, soit plus de 1 000 visas supplémentaires. Cette augmentation met fin aux rumeurs et redonne confiance aux étudiants.
Les chiffres en détail
Selon l’Ambassade de France, 87 % des étudiants admis via la procédure “Études en France” ont reçu leur visa. Ce taux prouve que la démarche institutionnelle reste fiable. Les candidats bien préparés voient leurs efforts récompensés, et la majorité obtient l’autorisation de rejoindre les universités françaises.
Une ouverture symbolique malgré les tensions
Ce geste dépasse la simple statistique. Dans un contexte diplomatique marqué par les tensions, la hausse du nombre de visas étudiants représente un pont entre la France et l’Algérie. Les universités françaises continuent d’accueillir une nouvelle génération d’étudiants algériens, porteurs de projets et acteurs de la coopération scientifique et culturelle.
Un message aux futurs étudiants
L’Ambassade rappelle que la campagne Campus France débute dès le 1er octobre. Les étudiants intéressés doivent préparer leur dossier sans attendre. Le message est clair : malgré les discours politiques, la voie académique reste ouverte.
